A la rencontre du requin tigre

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Face à face avec un super prédateur

Véritable sanctuaire pour une multitude d’espèces de requins, la Polynésie française s’est imposée ces dernières années comme LE spot de plongée pour les amateurs de sensations fortes. Le requin tigre n’y est pas pour rien et il est probable que vous croisiez sa route lors de vos échappées sous-marines… en toute sérénité.

 

Pas moins de 20 espèces de requins sont recensées en Polynésie ! Pas étonnant, quand on sait que toutes sont protégées depuis 2006… Craint partout ailleurs, le requin est devenu l’un des principaux atouts touristiques du fenua et s’affiche en première page des brochures de tous les clubs de plongée.

 

Anatomie d’un super prédateur

 

Sa silhouette effilée mais massive, sa robe grise tirant vers le bleu et, surtout, les rayures sombres qui marbrent son dos et auxquelles il doit son nom ne font aucun doute : vous avez en face de vous le fameux requin tigre ! Vous avez de quoi être surpris… Par sa taille imposante – entre 4 et 6 mètres ! – mais aussi parce que ce requin est plus coutumier des profondeurs. Il ne s’aventure habituellement plus proche de la surface que pendant la nuit, quand vient l’heure de se nourrirtiger-shark.

 

Sa réputation sulfureuse est à chercher du côté de son tableau de chasse, sans cohérence aucune, qui lui a valu le sobriquet pu reluisant de « requin poubelle ». Tortues, dauphins et autres baleines y figurent, au même rang que certains déchets océaniques : canettes, morceaux de bois… Ce manque de discernement le classe dans la catégorie des requins potentiellement dangereux, même si aucune attaque n’a été recensée en Polynésie française.

 

Pour que son observation reste un plaisir pur et serein, la pratique du shark feeding a été encadrée en Polynésie et reste strictement interdite dans les lagons et à moins d’un kilomètre des passes. Elle n’en est pas moins à l’origine de la naissance de nombreux spots réputés pour l’observation des requins, à l’instar de la Vallée Blanche, à Faa’a (Tahiti) où se retrouvent requins pointes noires, requins gris du récif, requins citrons… et, si la chance (et le courage !) sont avec vous, le fameux requin tigre ! L’assurance d’une plongée à inscrire en lettres d’or dans votre carnet.

Halloween : une vague d'horreur déferle sur le fenua

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Relevez le Défi #Halloween1ere ! Envoyez-nous vos pires selfies photos ou vidéos d'Halloween… Les meilleurs seront publiés sur le "Mur qui fait peur" de Polynésie 1ère. Âmes sensibles : s'abstenir ! polynesie1ere.fr

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Intempéries, catastrophes naturelles et grèves coûtent à l’aérien 60 milliards de dollars par an

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Les intempéries, les catastrophes naturelles et les grèves coûtent à l’industrie du voyage plus de 60 milliards de dollars chaque année, équivalents à 8% des revenus de l’industrie globale. L’étude …

Papeete d’antan : la rue du marché à Papeete

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Coin de la rue Gauguin et de la rue du marché à Papeete en 1970

Le carrefour de la rue Gauguin et de la rue du marché à Papeete en 1965,1970 et 2015.

A droite le magasin de tissu Hawaï au premier plan et plus loin le magasin de tissu Vénus, qui existent toujours.

A gauche les Etablissements Martin & Fils.

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Violences contre la police : mandat d'arrêt requis contre Athanase Teiri, le "roi" Pakumotu (Màj)

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PAPEETE, le 27 octobre 2016 – Athanase Teiri et cinq membres de l’Etat-major de son royaume fantoche sont jugés ce jeudi après-midi devant le tribunal correctionnel pour avoir mis en joue avec des armes chargées les policiers venus l’interpeller. C’était en janvier 2014 à son domicile de la Mission à Papeete. Le parquet vient de prendre de lourdes réquisitions, le jugement été mis en délibéré au mois de janvier prochain.

Des peines de 3 à 4 ans de prison ferme avec mandat de dépôt pour tout le monde, et mandat d’arrêt pour les trois absents à l’audience dont le "roi" Athanase Teiri, viennent d’être requises par le parquet contre six membres éminents, s’il en est, du royaume autoproclamé Pakumotu.

Les six hommes étaient renvoyés ce jeudi devant le tribunal correctionnel pour l’accueil très musclé réservé aux policiers venus interpeller le 29 janvier 2014 chez lui, quartier de la Mission à Papeete, Athanase Teiri, dans le cadre d’une enquête ouverte pour émission et mise en circulation de fausse monnaie, les fameux billets Patu.

Un père et son fils, Ismaël et Auguste Punu, gardes du corps désignés, avaient accueilli les fonctionnaires de police armes chargées à la main. Le premier les avait mis en joue avec une carabine Remington chargée, la balle était restée coincée dans la chambre. Le second avait dû être désarmé de son pistolet 22 long-rifle à coups de matraque et après usage du pistolet Flash-ball, dont l’utilisation est rarissime en Polynésie française.

Un coup de feu était alors parti en l’air. L’enquête avait initialement été ouverte sur des faits présumés de tentative de meurtre contre les policiers. L’intention d’attenter à la vie des policiers a finalement été écartée par l’enquête et les poursuites requalifiées en violences volontaires aggravées contre les fonctionnaires en service. 4 ans ferme avec mandat de dépôt ont été requis contre le père et son fils, présents, eux, à l’audience.

Quand le folklore ne fait plus rire

Les représentants du royaume déchu, organisation fantoche auto-proclamée apparue en 2010 et répudiant l’autorité de la France en Polynésie françaises, étaient poursuivi aujourd’hui pour "organisation d’un groupe armé". Outre les deux armes ayant été utilisées pour tirer sur la police par les deux sbires de la garde rapprochée du "roi", une troisième arme avait été saisie ainsi qu’un poing américain et des vêtements militaires équipés de porte-grenade. Dans les statuts du royaume, la constitution d’un groupe armé, ce qui est illégal, était évoquée pour défendre à n’importe quel prix la vie du monarque de toute personne "malveillante ou mal intentionnée qui viendrait à pénétrer dans un périmètre de dix mètres autour de lui".

Sorties médiatiques sur la place publique en habits d’apparat, nomination de ministres de la Défense, de la Justice, et même d’un Premier ministre –le neveu d’Athanase, Ndlr- émission et diffusion d’une monnaie de singe avec les billets de banque Patu, la "mouvance" Pakumotu avait tendance à faire sourire jusqu’aux faits d’armes contre les policiers de ce 29 janvier 2014 à Papeete. Derrière le folklore, une lettre de condamnation à mort visant le procureur de la république José Thorel avait aussi été découverte lors des perquisitions.

Dix-huit policiers se sont constitués partie civile dans cette affaire. Leur avocat, Me James Lau, a réclamé que les prévenus soient condamnés à leur verser une somme de 300 000 francs chacun au titre du préjudice moral : "Certes ils sont formés pour cela, mais beaucoup sont traumatisés d’avoir été mis en joue par une arme à feu au cours de cette intervention à laquelle ils repensent encore souvent aujourd’hui".

Le procureur de la République a salué "le sang-froid" de ces agents qui "se sont retrouvés dans une situation complètement inhabituelle ici en Polynésie française", rappelant que les policiers ont du faire usage de la force pour désarmer l’un des deux gardes du corps qui ne voulait pas lâcher son pistolet quand le coup de feu est parti.

Le tribunal a mis sa décision en délibéré et rendra son jugement fin janvier 2017.



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