Cadeaux, sapin et père Noël, d’où viennent ces traditions ?

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Cadeaux, sapin et père Noël, d’où viennent ces traditions ?
PAPEETE, 24 décembre 2016 – Tous les ans à la même date, le père Noël descend dans son fameux costume rouge et blanc, il dépose des cadeaux (pour les enfants sages) au pied d’un sapin décoré pour l’occasion. Qui a choisi son costume, son nom, la date de son passage ? Pourquoi un sapin et pourquoi des cadeaux ?

Le père Noël s’est imposé dans le costume qu’on lui connaît aujourd’hui au cours du XIXe siècle. Mais le personnage a plus de 2 000 ans d’histoire ! À cette époque, les Européens fêtaient le passage du solstice d’hiver. Le solstice est une journée de l’année pendant laquelle la position du soleil vue de la terre est à son extrême. La date du solstice varie d’une année à l’autre, à quelques jours près. Le jour du solstice d’été est le plus long de l’année, le solstice d’hiver est le plus court de l’année. Avant, les Européens décoraient les habitations, s’échangeaient des cadeaux le jour du solstice d’hiver, car cela annonçait l’arrivée prochaine du printemps et donc des beaux jours. Ces festivités n’étaient pas du tout du goût de l’Église catholique. En 354, le pape Libère a fixé la naissance de Jésus au 25 décembre. Au fil des ans, les manifestations liées au solstice d’hiver ont été oubliées.

Les miracles de Saint-Nicolas

Des centaines d’années plus tard, dans l’Europe germanique, un saint a pris de plus en plus d’importance. C’était Saint-Nicolas, un évêque qui a vécu au IIIe siècle après Jésus-Christ et qui aurait réalisé des miracles. Il aurait notamment ressuscité des enfants. Il est devenu le protecteur des enfants. Dans la tradition germanique on fêtait (et on fête encore) sa mort en distribuant des cadeaux aux enfants sages dans la nuit du 5 au 6 décembre (il est mort un 6 décembre).

Coca-Cola s’en mêle

Au XIXe siècle, les Hollandais qui ont quitté l’Europe pour aller vivre en Amérique ont emporté leur tradition avec eux, dont la tradition de Saint-Nicolas, Sinterclaes, qui deviendra Santa-Claus. La tradition a été fixée par un poème paru en 1823. Il s’intitule The night before Christmas et il raconte la venue de Saint-Nicolas, un lutin dodu, souriant, sympathique qui descend du ciel dans un traîneau avec huit rennes, la nuit du 24 au 25 décembre.

Depuis, l’image du lutin a changé. Saint-Nicolas est devenu le père Noël dans une partie de l’Europe et aux États-Unis. En 1931, la marque Coca-Cola qui voulait vendre sa boisson au milieu de Noël a fait appel à un dessinateur qui s’est inspiré du personnage de Saint-Nicolas et des représentations qui existaient. Voilà comment le père Noël moderne est né. Il est arrivé en Europe à la fin de la Seconde Guerre mondiale.

Et pourquoi un sapin?

Les festivités du solstice d’hiver étaient associées à l’épicéa, une espèce d’arbre de la famille des Pinacées. Plus tard, les Chrétiens représentaient l’arbre du Paradis par un sapin. Au XVIe siècle, en Alsace, les habitants étaient autorisés à couper des sapins encore verts pour les festivités. Ils étaient décorés de roses, de pommes, de confiseries. En 1841 au Royaume-Uni, l’époux de la reine Victoria, originaire d’Allemagne, a fait dresser un arbre de Noël au château de Windsor. Ce qui a plu au-delà de la Cour et des frontières.


Pour suivre le voyage du père-noël cliquez sur ce lien à partir du 24 décembre


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Miss France 2017 : les confidences de Vaea à la veille de l'élection

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Miss France 2017 : les confidences de Vaea à la veille de l'élection
PAPEETE, le 16 décembre 2016 – L’heure de vérité approche pour les 30 candidates en lice pour l’élection de Miss France 2017 … Demain, dès 9h55 sur TNTV, la cérémonie se déroulera en direct de l’Arena de Montpellier, sur le thème "L’incroyable Noël des Miss". Découvrez les confidences de notre représentante, Vaea Ferrand, sur son long mois de préparation, ainsi que ses premières impressions à l’issue de son grand oral.

Ah, Miss Tahiti… Une véritable institution en Polynésie, surtout lorsqu’il s’agit de représenter non plus seulement le fenua mais la France toute entière ! À la veille de l’élection nationale, nous avons réussi à joindre notre ambassadrice Vaea Ferrand, qui revient sur ses longues semaines de préparation et dévoile ses réactions "à chaud", juste après avoir passé le grand oral, une étape déterminante pour les 30 prétendantes au titre de Miss France 2017. Le jury, présidé cette année par l’actrice et chanteuse Arielle Dombasle, présélectionne en effet douze d’entre elles, lors d’un entretien qui s’est déroulé le 15 décembre. Ce dernier prend en compte : l’éloquence de la Miss, son physique et son résultat au test de culture générale (Meggy Pyaneeandee, Miss Île-de-France, a obtenu la note de 18/20).


Miss France 2017 : les confidences de Vaea à la veille de l'élection
Pour rappel, après avoir suivi des cours de théâtre, de culture générale et de fitness sur place, Miss Tahiti 2016 s’est envolée à Paris, le mois dernier, afin de rejoindre le comité Miss France et les autres reines de beauté pour les premières photos officielles. Leur séjour d’intégration et de préparation à l’élection, qui s’était déroulé à Tahiti et à Moorea l’année dernière, a eu lieu cette fois à La Réunion. Surnommé "l’île intense", le Département d’Outre-mer a offert des sensations fortes aux jeunes femmes. Balade à cheval, randonnée en montagne, descente en parapente et vol en hélicoptère ont fait partie notamment de leur programme. Début décembre, les candidates se sont ensuite rendues à Montpellier, où elles résident en attendant le grand soir. Entre les répétitions des chorégraphies, les séances de maquillage, les shootings photos et les défilés, les purotu ont réussi à trouver du temps pour découvrir la ville occitane, aller supporter l’équipe de football régionale, et même avoir une initiation au street art, au skateboard et au BMX.

La 87e édition de Miss France se tiendra en direct du Park & Suites Arena et sera présentée par Jean-Pierre Foucault (pour la 22e année consécutive) et Sylvie Tellier. Un événement à suivre samedi dès 9h55 sur TNTV (ou sur TF1 pour les abonnés aux chaînes payantes), mais aussi via notre "live blog" sur Tahiti Infos

Née à Castres et titulaire d’une Licence en chimie création de parfums et arômes, Vaea Ferrand, 22 ans, 1,76 m, a toutes ses chances pour succéder à Iris Mittenaere et briser le "mauvais sort" après les titres remportés les années précédentes par nos représentantes Vaimiti Teiefitu (deuxième dauphine), Hinarere Taputu, Mehiata Riaria et Hinarani de Longeaux (premières dauphines). Alors, la cérémonie étant placée sous le signe de la magie de Noël, on se met à rêver… Papa Noera, on compte sur toi ; Vaea, tout le fenua est avec toi !


Miss France 2017 : les confidences de Vaea à la veille de l'élection
Vaea Ferrand : "Mon oral s’est très bien passé, je suis satisfaite !"

Comment se passe ta préparation à l’élection de Miss France depuis ton départ de Tahiti ?

J’appréhendais énormément cette préparation pour Miss France, cela a pu se sentir lors de mes dernières interviews, encore sur Tahiti (dans notre édition Tahiti Infos n°777 du 31 octobre, elle confiait en effet : "Le stress commence à venir (…) je sens la pression monter…"). Mais au final, tout se passe très bien, même si je ne m’attendais pas à un tel rythme de vie ! Notre programme est très chargé, donc nous n’avons pas le temps de nous ennuyer.

Ne souffres-tu pas trop du froid en métropole ?

Je pense que tout le monde, surtout en Polynésie, craint un peu le froid. Cependant, j’ai quand même eu l’habitude de vivre en métropole, à Toulouse et à Montpellier, donc je connais ce froid glacial, la cheminée, le bonnet et tout ce qui va avec. La période la plus dure a été mon arrivée à Paris. Pour la petite anecdote, j’avais oublié mes baskets et mes bottes, donc j’ai débarqué en claquettes ! (Rires) Grâce à quelques courses de dernière minute, j’ai eu le temps d’acheter ce qu’il fallait. Mais je ne vais pas me plaindre du froid, notre préparation a eu lieu sur l’île de La Réunion et il fait encore beau à Montpelier, c’est parfait pour moi.

Heureuse d’avoir pu retrouver La Réunion aussi ?

Bien sûr, j’étais ravie de revenir à La Réunion, six ans après mon dernier séjour, et de revoir ses beaux paysages. J’ai également eu la chance de pouvoir retrouver des amis et des connaissances. Cela a été un agréable retour aux sources.

L’entente est-elle bonne entre les candidates ?

Franchement, l’entente est très bonne entre nous, même si des affinités se créent, c’est normal. Pour ma part, je me suis rapprochée de Miss Midi-Pyrénées, Miss Réunion, Miss Alsace, Miss Picardie et Miss Rhône-Alpes. Je m’entends très bien aussi avec les filles des Dom-Tom, Miss Guyane, Miss Martinique, etc. C’est sûr que nos cultures et nos mentalités resserrent nos liens, mais j’échange beaucoup avec toutes les candidates et également le staff. Je pensais que cela serait plus difficile, car nous restons quand même ensemble pendant un mois, et il n’y a que des jeunes femmes qui sont là avec un seul but… Je suis surprise dans le bon sens.

Quelles sont les épreuves ou les prestations que tu as dû réaliser ?

Nous avons fait un défilé à La Réunion, dans la ville de Saint-Pierre (dans le Sud de l’île, ndlr), ainsi que notre test de culture générale que je pense avoir un minimum réussi. Nous avons fait beaucoup d’activités, et participé notamment à une soirée avec des danses créoles. Nous sommes par la suite revenues à Montpellier, où nous avons présenté un autre défilé sur la Place de la Comédie. J’ai pu voir à cette occasion plein d’amis et des associations d’étudiants polynésiens qui me soutiennent. Nous avons aussi visité la ville et eu droit à des dégustations. Aujourd’hui (jeudi 15 décembre, ndlr), c’était une étape importante, car j’ai passé mon grand oral devant un jury qui sélectionne les douze candidates finalistes de Miss France 2017.

Comment s’est passée justement la redoutable épreuve orale ?

Mon oral, qui a duré une dizaine de minutes, s’est très bien passé ! J’ai eu plus de questions que certaines filles, mais j’ai été félicitée sur mon quiz et également sur ma tenue. Les onze membres du jury ont semblé avoir apprécié mon oral et mes réponses. Cela s’est déroulé à la mairie de Montpellier, et j’ai réalisé un passage en robe et un autre en maillot de bain. J’ai été très stressée, car j’étais la dernière à passer, donc c’est dur de sortir quelque chose d’original après 29 autres candidates… Et surtout, après une journée où le jury peut être fatigué. La bonne nouvelle, c’est que Sonia Roland (Miss France 2000, ndlr) était présente et m’a conseillée. Elle m’a également aidée pour la préparation. Globalement, je suis satisfaite.

As-tu rencontré des personnalités ?

Je n’ai pas eu l’opportunité de rencontrer de grandes personnalités, à part Sylvie Tellier que je n’avais vue qu’à la télé. C’est assez impressionnant de la voir en vrai, face à nous, et nous donner des conseils. J’ai également rencontré Iris Mittenaere, la Miss France actuelle. Aussi, lors d’une répétition, j’ai vu Alexandra Rosenfeld et je peux vous dire qu’elle est superbe ! C’est une belle maman, très gentille et humble, de même pour Sonia Roland. Cela me donne encore plus envie de devenir une Miss, une Miss comme elles.

"À deux jours de l’élection, je me sens bien"

Sur la dernière ligne droite, te sens-tu sereine et prête à décrocher le titre ?

Je me sens davantage prête et sereine qu’à mon départ de Tahiti, car notre programme chargé nous empêche finalement de trop penser, réfléchir, ou se projeter. À deux jours de l’élection, ça va, je me sens bien.

Samedi, lors de l’élection, quel sera globalement ton discours de présentation ?

Il faut savoir que cette année, c’est le public qui pose des questions. Dans ma présentation, je mettrai en avant le fait que les Polynésiens attendent vivement la couronne, car cela fait quatre ans que nous sommes finaliste. J’expliquerai aussi qu’ils pensent que cette fois-ci c’est la bonne, et que j’ai tout donné jusqu’à maintenant et que je donnerai encore tout le jour J, en direct.

Quel est le passage que tu redoutes le plus ?

Je pense que nous sommes toutes d’accord sur ce point… C’est le passage en maillot de bain que je redoute le plus, car nous défilons devant la France entière, aussi bien les 8 000 spectateurs présents dans la salle que les millions de téléspectateurs devant leur petit écran.

Quel est ton meilleur souvenir à présent ?

J’ai passé un mois en dehors de Tahiti, d’abord à La Réunion où j’ai habité pendant trois ans et aussi à Montpellier où j’ai fait mes études durant deux ans. Mes meilleurs souvenirs restent mes défilés à Saint-Pierre et sur la Place de la Comédie, car j’ai retrouvé de nombreux amis et surtout des Tahitiens, cela fait chaud au cœur ! Nous commençons à essayer les tenues et cela nous donne vraiment envie d’être au 17 décembre… Cette année, le show sera magnifique, je n’ai qu’une hâte désormais : être à la soirée de samedi.

Un mot pour les nombreux Polynésiens qui t’apportent leur soutien ?

Je tiens à remercier toutes les personnes qui me soutiennent encore et encore, et cela tous les jours. Cela me motive énormément car une préparation d’un mois, loin du territoire et sans la famille, c’est assez dur. Mais vos messages et commentaires m’aident à tenir le coup. J’espère ne pas vous décevoir, mais je donnerai tout samedi !

Propos recueillis par Dominique Schmitt


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Pour voter

Vous pouvez soutenir notre Miss Tahiti samedi pendant l’élection de Miss France en votant au 72 500 (coût du SMS sur Vini ou Vodafone : 118 Fcfp TTC). Attention, vous ne pourrez pas participer si votre forfait est bloqué. Il peut être débloqué en contactant le Service Client au 8989 (appel gratuit) et en précisant que c’est pour un jeu, ou en vous rendant directement dans les boutiques Vodafone.


Miss France 2017 : les confidences de Vaea à la veille de l'élection
Une chaîne de soutien

Depuis quelques jours, les fans de Miss Tahiti se mobilisent pour soutenir notre candidate. La fédération des associations des étudiants de Polynésie en métropole a ainsi réalisé une vidéo pour soutenir Vaea Ferrand, qui a réagi aussitôt sur sa page Facebook : "Merci beaucoup à toutes les AEPF de France, je suis tellement touchée par vos messages. Vous me donnez la force d’aller encore plus loin !" La ville de Castres, où est née Vaea, encourage aussi la "reine tahitienne". Localement, le personnel de la compagnie au tiare a également envoyé une photo tout sourire.


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Air France dévoile sa nouvelle Premium Eco dans son Boeing 787

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Le Boeing 787 d’Air France est équipé d’une nouvelle classe Premium Eco configurée en 2-3-2. Les 21 sièges qui la composent présentent plusieurs nouveautés : de l’accoudoir central au dossier, en passant par la largeur de l’assise.

20 élèves iront en formation au lycée Wenling en Chine

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20 élèves iront en formation au lycée Wenling en Chine
PAPEETE, le 2 décembre 2016. La ministre de l’Education, Nicole Sanquer-Fareata, a remis, vendredi, en fin de journée, à la présidence, des attestations de bourses pour des élèves polynésiens qui accompliront prochainement un mois d’immersion au lycée international de Wenling, en Chine.

Chaque année, depuis octobre 2013, le lycée international de Wenling propose une formation linguistique en mandarin, pour les élèves polynésiens, afin de leur permettre de mieux appréhender la pratique de la langue chinoise et la culture de ce pays.

Au total, 20 élèves venus des lycées La Mennais, Samuel Raapoto, Aorai, Paul Gauguin et Taaone, ont été retenus pour une formation d’une durée d’un mois. Cette opportunité exceptionnelle pour ces élèves est rendue possible grâce au concours du Consul de Chine, de l’association « Hei Taina », ou encore, pour les services sous la tutelle du ministère de l’Education, du pôle des relations européennes, internationales et de coopération (PREIC) et du département de la vie des écoles et des établissements scolaires.

La Polynésie française souhaite faire en sorte qu’un nombre croissant de jeunes diplômés puissent maîtriser le mandarin afin de répondre aux besoins des différents secteurs d’activités que sont le tourisme, l’interprétariat, ou encore l’enseignement.

Dans cet objectif, une convention quadripartite entre les associations « Hei Taina », « Wen Fa », et les ministères de l’Education et du Tourisme, est en cours d’élaboration. Elle doit permettre de consolider et de développer le partenariat existant.


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