Ordre de Tahiti Nui : Wang Cheng élevé au rang de Commandeur

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Ordre de Tahiti Nui : Wang Cheng élevé au rang de Commandeur
PAPEETE, 31 mai 2018 – Le président de la société Tahiti Nui Ocean Food, porteuse du projet aquacole de Hao, a reçu la distinction de Commandeur dans l’Ordre de Tahiti Nui, mercredi lors d’une cérémonie organisée à la Présidence.


Discours prononcé par Edouard Fritch
Monsieur Wang Cheng

Vous êtes né le 4 août 1968 à Shanghai.

Désormais, vous totalisez déjà plus de 30 années d’expérience dans l’exploitation et la gestion de la pêche dans le monde entier.

En 1989, vous êtes ainsi parmi les pionniers chinois experts de la pêche en haute mer, en Afrique de l’Ouest et en Atlantique. A partir de 1998, vous ouvrez des bases de pêche au Moyen-Orient. En 2004, vous devenez notamment PDG de la société Shanghai Jinhui Deep Sea Fisheries, mais aussi actionnaire de la société Pan Pacific Foods aux îles Marshall. Fort de l’expérience désormais acquise dans le Pacifique sud, vous participez activement aux négociations de coopération de la Chine avec les principaux pays de pêche dans la région.

De cette longue expérience dans le domaine de la pêche industrielle, vous avez sagement tiré les enseignements selon lesquels, la préservation de la ressource passe par l’aquaculture.

Vous avez été nommé, en 2013, président de Tianrui International Investment et Shanghai Renhe Marine Investment, deux sociétés spécialisées dans l’investissement et l’acquisition dans le domaine de l’économie maritime sur le plan international.

Vous avez aussi acquis des sociétés de renommée internationale comme Saphire Energy des Etats Unis, la plus grande société du monde sur la recherche des micro-algues.

Vous avez aussi investi dans un holding nommé Asia Pacific Resources Development Investment, qui s’engage à regrouper et promouvoir les meilleurs techniques et ressources sur l’énergie renouvelable, sous lequel on retrouve des sociétés publiques comme Shunfeng International Clean Energy et Suntech, le plus grand fabricant de panneaux solaires.

Vos premiers contacts avec la Polynésie française remontent à 2009. Depuis, cette période, vous avez tenté de travailler avec les gouvernements de messieurs TEMARU et FLOSSE pour concrétiser un projet en Polynésie française.

Depuis septembre 2014, malgré les difficultés de communication ou celles liées à certaines incompréhensions dues aux différences de nos cultures administratives et juridiques, vous et votre équipe, sous votre impulsion, avez persévéré pour faire aboutir le projet aquacole de HAO porté par la société locale Tahiti Nui Ocean Foods.

C’est ainsi que l’ensemble des 3 permis nécessaires aux travaux de construction de la ferme aquacole, fut délivré au cours du second semestre 2016, sans aucune dérogation. Le montant total des investissements est évalué à 150 milliards de FCP sur 10 ans. Votre projet de HAO représente le deuxième plus gros investissement privé chinois dans la zone Pacifique.

Le projet aquacole de HAO sera également pourvoyeur d’emplois pour les Polynésiens lors de la phase de construction, puis lors de la phase d’exploitation de l’écloserie et de production dans les fermes d’élevage.

Le projet aquacole obéira également aux principes du développement durable.

Aussi, pour votre grande ténacité et pour votre confiance sans cesse démontrées à la Polynésie Française, j’ai l’immense honneur de vous remettre la médaille de l’Ordre de Tahiti Nui, au grade de Commandeur.


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La Startup Cup développe l'esprit d'entreprise dans les îles

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La Startup Cup développe l'esprit d'entreprise dans les îles
PAPEETE, le 28 mai 2018 – La compétition Startup Cup Polynésie a démarré. Les premiers ateliers de sélection ont eu lieu dans trois archipels, avec une grande qualité des projets présentés et l’émergence d’un vrai vivier d’entrepreneurs dans les îles. Les sélections continuent jusqu’à la semaine prochaine à Tahiti et Moorea, puis les huit finalistes s’affronteront à Papeete pour tenter de remporter 800 000 francs de prix en cash.

La première Startup Cup Polynésie est lancée. Cette compétition est organisée par différents partenaires du secteur privés et la CCISM afin de faire émerger des projets innovants à travers toute la Polynésie. La compétition vous propose deux prix de 150 000 francs et un grand prix de 500 000 francs pour récompenser les meilleures idées et aider à les transformer en réalité. Le meilleur projet sera aussi accompagné un an dans l’incubateur de la CCISM, le Prism.


La Startup Cup développe l'esprit d'entreprise dans les îles
La coupe se dispute en huit "ateliers d’émergence" où les candidats doivent, en équipe, imaginer un projet d’entreprise innovante avec un fort potentiel de croissance. Un jury sélectionne le meilleur projet de chaque atelier et ces huit finalistes se disputeront la coupe lors d’une grande finale publique le 19 juin à Papeete.

Le dernier atelier en date remonte à jeudi dernier, aux Marquises, avec une vingtaine de candidats ayant participé. L’animateur de l’atelier, Alan Touchard, nous a ainsi raconté l’ambiance start-up qui s’est emparée des îles où l’événement est passé. Dans son interview, il nous a également détaillé les premiers projets lauréats.

Pour s’inscrire aux derniers ateliers restants pour les sélections, rendez-vous sur le site startupcup.pf, ou sur la page Facebook du même nom.


Alan Touchard, chargé d’émergence et innovation à la CCISM, animateur de la Startup Cup
La Startup Cup développe l'esprit d'entreprise dans les îles
"Les finalistes ont très envie de faire gagner toute leur zone et montrer que même aux Marquises ou aux Tuamotu on a envie de lancer des projets innovants et de développer son territoire"

Où en sommes-nous de la Startup Cup ?

Nous venons de faire trois ateliers sur les huit prévus, et d’ici la fin de la semaine nous seront aussi allés à Moorea et à la Presqu’Île. Donc on a déjà fait trois archipels, avec Raiatea, Rangiroa et Nuku Hiva, et nous allons finir avec les Îles du Vent. Pour les deux premiers ateliers nous avons eu une dizaine de participants et aux Marquises nous en avons eu une vingtaine.

Quels types de projets ont été proposés ?

On a eu surtout des projets sur l’encadrement des jeunes et pour leur proposer de nouvelles activités. À Raiatea c’était un projet de réhabilitation de la culture ancestrale, avec une rencontre avec un ancien sur la place du village toutes les semaines. Ils veulent aussi présenter les métiers disparus aux jeunes, pour leur redonner l’envie de se lancer dans ces métiers anciens. Au Marquises le projet gagnant est un centre d’activité pour les jeunes, pour qu’ils puissent se divertir et s’occuper. Par exemple ils veulent faire redécouvrir la culture marquisienne avec des jeux, comme une chasse au trésor sur les sites archéologique… L’équipe de Rangiroa a imaginé un centre pour revaloriser la filière coco en évitant le gaspillage des produits du coco, avec la mise en commun de tous les déchets pour les revaloriser, et peut-être une bande-dessinée pour sensibiliser à toutes les utilisations du coco, que ce soient les noix, la bourre, les feuilles, et arrêter les gaspillages.

Donc ce sont trois projets à caractère social qui ont remporté les ateliers de ces archipels et participeront à la finale qui aura lieu à Papeete le 19 juin, au Cube, la salle de location située avenue Prince Hinoi. Air Tahiti prend en charge les billets d’un membre de chaque équipe finaliste des îles pour qu’ils présentent les projets de leurs équipes lors de la finale, où nos partenaires offriront 800 000 francs de dotations en prix financiers répartis en trois lot. Et le grand gagnant aura une place dans la troisième promo du PRISM, et donc un accompagnement d’un an dans l’incubateur. On accompagne déjà des porteurs de projet dans les îles, avec de la visio-conférence ou par email, donc on pourra accompagner des projets jusqu’aux Marquises. On fait en sorte que la distance ou la connexion ne soient plus un problème pour accompagner les projets.

C’est à ce type de projets que tu t’attendais ?

On savait qu’il y avait une forte demande en termes d’occupation des jeunes, on l’avait déjà ressenti lors des précédents ateliers du PRISM. Sans travail, beaucoup de jeunes trainent, donc on aimerait les occuper avec des activités sociales, culturelles ou sportives. D’ailleurs c’est vraiment dans l’esprit de MakeSense, qui nous a formés et qui est consacré à l’entreprenariat social. Là c’était beaucoup plus large, mais on est très contents que des gens développent des projets dans ce sens-là. Et imaginons que le projet de Raiatea ou de Taiohae remporte la Startup Cup et soit créé, il pourrait ensuite être développé dans tous les autres archipels et aider toute la population. Nous sommes aussi heureux que ce soient des projets à forte croissance et avec un grand potentiel de développement. Même si ce ne sont pas des projets digitaux, le numérique n’est qu’un outil. Lors de l’incubation et l’accompagnement de PRISM, on pourra les accompagner vers les outils numériques nécessaires à leur business.

Les prochaines sélections auront lieu à Tahiti et Moorea, vous pensez avoir beaucoup de candidats ?

On se rend compte que les inscriptions sont déjà presque pleines pour Papeete, il ne reste plus que cinq places. Il y aura clairement une concurrence un peu plus rude. Et on a déjà 25 participants inscrits pour Moorea.

Quel est l’impact de cette compétition dans les îles ? Les partenaires qui voulaient développer l’esprit d’entreprendre sont satisfaits ?

Les organisateurs et partenaires interviennent lors des ateliers et sont membres du jury. Par exemple Elodie Lansun de Avis est allé jusqu’aux Marquises, elle a été étonnée de la qualité des projets et de l’aisance des participants, qui ne sont pas des gens sortis d’école de commerce. Mais après cinq heures d’atelier, ils sortent avec un projet bien pensé, un concept simple et bien cadré qui donne envie d’en savoir plus. Et ces candidats sont hyper motivés pour se lancer, ils ont pu discuter entre les différents porteurs de projets, ils peuvent se challenger les uns les autres, c’est l’intérêt que ce soit une compétition. Et après, les finalistes ont très envie de faire gagner toute leur zone et montrer que même aux Marquises ou aux Tuamotu, sans connexion internet, on a envie de lancer des projets innovants et de développer son territoire.


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Deux comédies musicales originales présentées au petit théâtre

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Deux comédies musicales originales présentées au petit théâtre
PAPEETE, le 27 mai 2018 – L’École Comédie Musicale de Tahiti (ECM) propose une soirée deux en un avec une première comédie musicale conçue et interprétée par les enfants de l’école suivie d’une comédie musicale imaginée et interprétée par la section adulte. Pour en profiter, le rendez-vous est donné au Petit théâtre de la Maison de la culture le samedi 9 et le dimanche 10 juin.

"Il y aura sur scène la chorale, couleur vocale, et la troupe de théâtre Fenuâtre", annonce Benjamin Chaboudez. "En septembre dernier on a décidé, avec les élèves enfants et adultes, de créer des comédies musicales. Les deux groupes ont travaillé en parallèle et penser leur spectacle."

À travers le temps

Pour la section enfants, les 24 inscrits ont participé à la conception du show qu’ils ont baptisé À travers le temps. "Ils ont également choisi leur rôle, trouvé les répliques, les paroles de chanson… De ce fait, ils sont très investis dans ce spectacle. C’est quelque chose qui leur correspond, qu’ils aiment et donc ils s’amusent vraiment bien sur scène." Les arrangements musicaux ont été choisis. "Concrètement, je les ai écrits, ils avaient à retenir ceux qu’ils préféraient parmi trois ou quatre propositions."

À travers le temps raconte l’histoire de statues, exposées dans un grand musée d’histoire. De jeunes étudiants viennent y prendre des notes pour préparer leur voyage à travers le temps. "À ce moment, ils ne savent pas tout des statues", glisse Benjamin Chaboudez.

L’un des étudiants possède une machine à voyager dans le temps que le petit groupe compte bien utiliser. D’abord, ils choisissent de remonter à l’époque romaine pour découvrir Jules César et Cléopâtre. "Seulement, les statues sont vivantes ! Sous l’emprise de la directrice du musée, elles sont aussi condamnées à une vie d’esclave."

Découvrant la situation, les enfants vont emporter les statues avec eux, emmenant par exemple Cléopâtre dans son époque, le temps d’une journée. "Tout cela donne lieu à des scènes très amusantes, à des anachronismes et situations invraisemblables."

Par ailleurs, "les enfants, en tant qu’auteurs, ont profité de l’histoire pour faire passer des messages. Par exemple, à l’époque romaine, ils essaient de faire abolir l’esclavage". Benjamin Chaboudez poursuit : "Les voyages vont-ils changer le cours de l’histoire ? "

Le spectacle, né d’une collaboration entre les enfants et le professeur, est finalement le fruit d’une grande aventure pédagogique puisqu’il s’agit d’histoire et de personnages qui ont "marqué notre monde".

Karpatt Show

Parmi le groupe de trente adultes de l’ECM, un comité artistique de quatorze personnes a été mis en place avec un comité logistique de cinq personnes. Patrick, l’un des chanteurs-comédiens, incarne le pilote d’avion du show. "Benjamin nous a soumis l’idée de ce projet auquel on a tout de suite adhéré. Il y a de vrais talents dans la troupe", garantit-il.

"Ils ont voulu s’amuser, proposer un spectacle de détente, sans message, hors de la réalité même s’il y a des références à des lieux connus notamment. Au final on a quelque chose qui ne prend pas la tête, qui ne se prend pas au sérieux, qui est là seulement pour distraire, se changer les idées", résume Benjamin Chaboudez. Avec Karpatt Show tout devient prétexte pour "délirer". Ceci étant dit "on s’est creusé les méninges pour trouver des situations qui parlent à tous".

La comédie musicale Karpatt Show commence au départ d’un vol. Voyageurs et équipage s’apprêtent à embarquer. Parmi eux, Karl Karpatt, il cherche à quitter Tahiti. Malheureusement, son plan échoue. Sa terre natale a été confisquée par la douanière suite à un échange de valise.

Sans sa terre natale, il doit rester dans l’aérogare, entouré de ses fidèles vampires qui se retrouvent, la nuit, au bar de l’aéroport pour leur tournée générale et quotidienne de sang. Pour s’en sortir, Karl Karpatt doit conquérir le cœur d’une hôtesse. La suite, le 9 juin, au Petit théâtre de la Maison de la culture.


Coup d’œil sur l’ECM

L’École de comédie musicale (ECM) est née en 2011 grâce à Benjamin Chaboudez qui dirige la chorale adultes qui compte trente chanteurs et enseigne le théâtre. Il est également professeur de théâtre et de chant dans les écoles de Tahiti. L’ECM propose des cours de chant, musique et théâtres aux enfants (de 7 à 14 ans), adolescents et adultes. En sept années d’existence, de nombreux spectacles ont été présentés au public. Le dernier date de juin 2017, il a été joué au Petit théâtre à guichet fermé.


Deux comédies musicales originales présentées au petit théâtre


Pratique

Le Gala de l’ECM aura lieu le samedi 9 juin et le dimanche 10 juin au Petit théâtre de la Maison de la culture.

À 17 heures, À travers le temps, comédie musicale des enfants et à 18h30 Karpatt Show de la section adulte.

Direction artistique Benjamin Chaboudez.

Tarif : 1 500 Fcfp pour un spectacle, 2 000 Fcfp pour les deux.

Billeterie Oyé Oyé à Papeete.


Deux comédies musicales originales présentées au petit théâtre



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Promotion famille sur La Compagnie

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La compagnie aérienne La Compagnie Boutique Airline lance une promotion « The Family Trip » sur sa route tout-Affaires entre Paris et New York, avec un tarif exceptionnel pour les parents comme pour les enfants : aller/ retour pour un adulte à partir de 1100 euros et pour un enfant à partir de 900 euros.

Pour la deuxième année consécutive, La Compagnie lance « The Family Trip » avec un tarif exceptionnel pour les parents comme pour les enfants : A/R pour 1 adulte à partir de 1100 euros, et pour un enfant de 2 à 12 ans à partir de 900 euros. Cette offre est valable jusqu’au 2 juin 2018 pour des vols effectués du 2 juillet au 25 août 2018. Pour mémoire, les tarifs « The Family Trip 2 » de La Compagnie ne sont pas remboursables en cas d’annulation et toute modification entrainera une pénalité de 400 euros par vol et par personne.

La Compagnie explique dans un communiqué qu’elle a « particulièrement pensé à toute la famille, des plus petits aux plus grands, aimant voyager et souhaitant s’offrir une classe affaires pour plus de confort, à des prix compétitifs. Des sièges-lits, des écrans tactiles individuels, des trousses de bien-être et des plats signés par de grands chefs sont à disposition de chaque passager afin de leur assurer le plus agréable des voyages ».

Rappelons que la compagnie aérienne française propose deux rotations quotidiennes entre Paris-Orly et l’aéroport de Newark-Liberty, opérés en Boeing 757-200 pouvant accueillir 74 passagers uniquement en classe Affaires. Filiale de XL Airways France, La Compagnie « réinvente depuis le 21 juillet 2014 la Classe Affaires entre Paris et New York en une expérience unique et à taille humaine ». La Compagnie propose jusqu’à deux vols quotidiens « à des prix de 30 à 50% inférieurs à ceux de la concurrence, pour séduire et satisfaire une clientèle à la recherche d’une expérience différente ». Elle a enregistré 56.800 passagers l’année dernière, une progression de 44% par rapport à 2016.

Florent Chevalier, meilleur pâtissier de Polynésie

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https://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/polynesie-francaise/florent-chevalier-meilleur-patissier-polynesie-583363.html

Florent Chevalier, meilleur pâtissier de Polynésie Ses compositions ont séduit le meilleur pâtissier de restaurant du monde lors du concours annuel organisé par le lycée hôtelier.

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A bord de l’A 350 de French bee

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A bord de l’A 350 de French bee
PAPEETE, le 12 mai 2018 – L’un de nos correspondants a pris place à bord de l’A 350 de French bee pour ce premier vol inaugural en Polynésie. Prestations, environnement, performances, caractéristiques : il livre ses premières impressions.

L’équipe de French Bee ne cesse de le dire : le nouvel A350-900, livré en avril dernier, qui a relié pour la première fois Paris à Papeete, est « un bijou de technologie ». Il est vrai que le style est épuré, l’éclairage, revu, est à adapté à la lumière naturelle. Surtout, la cabine est bien plus silencieuse que dans un avion classique. Le traitement de l’air, également, a été revu. Pour les douze membres d’équipage, les espaces de travail sont plus spacieux. A tel point que l’espace cuisine situé tout à l’arrière de l’appareil est appelé « le studio » par le personnel navigant.

La cabine se divise en trois espaces aux tailles différentes : à l’avant se trouvent cinq rangées pour les passagers BusinessBlue. Les habitués des sièges Business ne retrouveront pas d’imposants blocs individuels comme chez d’autres compagnies non « low cost », mais ce n’est pas prioritairement la clientèle qui est visée. L’espacement entre les rangées est très spacieux et les équipements modernes, de l’écran tactile à la tablette pour lire une sélection de titres de la presse quotidienne nationale, locale et magazine ainsi qu’une sélection de livres. La sélection de films est variée et de qualité, et évite les blockbusters américains. Les 32 films proposés vont de dessins-animés récents comme Ballerina ou Opération casse-noisettes 2, à un vieux James Bond, en passant pas le plus contemporain La La Land, Moonlight ou Le silence des agneaux. Derrière, c’est l’espace Cosy. Ici, l’espacement est un peu plus réduit mais toujours confortable, il y a trois passagers installés sur les côtés, contre deux en Businessblue, et les tablettes sont situées au dos du fauteuil devant soi, et non cachées à l’intérieur de l’accoudoir. Ouvrez le rideau pour entrer dans le compartiment Ecoblue où les fauteuils sont légèrement plus étroits. La connexion au réseau Wifi en vol est « offerte » jusqu’au 10 juin. Mais sur ce premier trajet, malgré les efforts d’un technicien, elle est restée inexistante.


Escale à San Francisco

 

« A votre gauche le Golden gate bridge. Et à droite, l’océan Pacifique. » Atterrir en soirée à l’aéroport de San Francisco avec le coucher de soleil orange qui s’abat sur la ville, a quelque chose d’enchanteur. Davantage en tout cas que les interminables blocks de Los Angeles. Est-ce le rythme lent et paisible de San Francisco qui agit inconsciemment ? En tout cas, le douanier se fend d’un « Bonjour » suivi d’un « Merci » et chantonne même entre la prise d’empreintes et la photo. Mais c’est ensuite que cela se complique et les deux heures d’escale ne seront finalement pas de trop. Car il faut récupérer son bagage en soute, se diriger vers un autre guichet pour se voir délivrer le billet d’avion du deuxième tronçon (qui n’avait pas été donné dès Paris), puis faire réenregistrer son bagage en soute au guichet 5, puis finalement non, au numéro 7 et repasser les contrôles de sécurité. Escalator, long couloir, escalier, nous voici à bord. Alors, cette escale à San Francisco ? « L’enfer », lâche un passager enfin installé dans le deuxième avion. L’avion a quelques minutes de retard. C’est le premier vol pour la compagnie, en phase de rodage sur cette ligne. Le pilote, au micro, explique que « certaines procédures nécessitent d’être réajustées, notamment avec les autorités aéroportuaires »


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