Eurowings : réservations en classe Affaires et route Facebook

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La compagnie aérienne low cost Eurowings a ouvert les réservations de la nouvelle classe Affaires BIZclass, proposée sur certaines de ses routes long-courrier. Elle annonce d’autre part une nouvelle route entre Düsseldorf et Kosice, destination choisie par ses passagers sur le réseau social Facebook.

Depuis le 25 avril 2018, il est possible de réserver des places de classe Affaires à bord des vols de la filiale du groupe Lufthansa spécialisée dans le vol pas cher, au départ de sa base de Düsseldorf et à destination des aéroports de New York-JFK, Fort Myers et Miami aux Etats-Unis, Cancun au Mexique et Punta Cana en République Dominicaine. Présentée en décembre comme un « produit complet » avec davantage de services qu’en Economie ou Premium, la BIZclass propose des sièges plus larges se transformant en un lit d’environ deux mètres de long totalement horizontal – « idéal pour se détendre lors d’un long vol », un service dédié de restauration ainsi que d’autres nouveaux services. Deux bagages de 32 kilos en soute sont inclus dans le prix du billet, de même que deux bagages cabine ou l’enregistrement prioritaire.

Eurowings est la première compagnie low-cost à proposer une Classe Affaires ; les classes de réservation Eurowings Basic, Smart et Best restent inchangées. Low cost et BIZclass ne sont pas contradictoires selon Oliver Wagner, directeur général et directeur commercial d’Eurowing, qui a « constaté une forte demande pour un produit plus confortable de notre compagnie sur les liaisons avec une plus forte proportion de voyageurs d’affaires, et notamment pour les vols à destination des États-Unis ». Rappelons que les vols long-courrier d’Eurowings sont opérés par SunExpress Deutschland, au moyen de sept Airbus A330-200 configurés pour accueillir 21 passagers en Premium et 289 en Economie; elle attend également de sa maison-mère six A340-300 (39+261), opérés eux par Brussels Airlines.

Sur le moyen-courrier, Eurowings a d’autre part annoncé l’ouverture fin octobre d’une liaison entre Düsseldorf et l’aéroport de Kosice en Slovaquie, nouvelle destination dans son réseau, avec quatre rotations hebdomadaires sans concurrence. Pour la troisième fois de son histoire, la destination a été choisie par les clients : la ville a remporté le plus de voix parmi les plus de dix millions de votes exprimés sur Facebook, au deuxième tour d’une consultation « You vote, We fly » qui avait aussi qualifié Cork en Irlande et Friedrichshafen en Allemagne (Aarhus au Danemark, Ljubljana en Slovénie et Stavanger en Norvège étaient également proposées initialement). Le groupe Eurowings dessert désormais 210 destinations dans près de 50 pays.

Eurowings relie Munich à Las Vegas, Cancun et l’île Maurice

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La compagnie aérienne low cost Eurowings a inauguré sa première route long-courrier à Munich vers Las Vegas aux Etats-Unis, une nouvelle destination dans son réseau. Cancun au Mexique à suivi hier, et l’île Maurice sera reliée à la Bavière à compter de demain.

La filiale du groupe Lufthansa spécialisée dans le vol pas cher a inauguré le 16 avril 2018 sa nouvelle base base à l’aéroport de Munich, où sont désormais stationnés trois Airbus A330-200 pouvant accueillir 21 passagers en classe Premium et 289 en Economie (opérés par SunExpress Deutschland). Sa première nouveauté en Bavière a été les deux vols par semaine lancés le même jour vers Las Vegas-McCarran dans le Nevada, le lundi et le jeudi, en concurrence avec Condor. Et depuis hier, elle propose un vol par semaine entre la Bavière et Cancun au Mexique, toujours face à Condor.

A partir du 21 avril 2018, Eurowings propose une rotation hebdomadaire entre Munich et Port Louis-Sir Seewoosagur Ramgoolam, renforcée par une deuxième dès le 16 juillet, là encore face à Condor (contrairement à sa route existante entre Cologne-Bonn et l’aéroport SSR qui reste sans concurrence, Lufthansa desservant de son côté l’île Maurice depuis Francfort). Les départs seront alors programmés lundi et samedi à 15h45 (arrivée le lendemain à 5h10), avec retour de l’île de l’Océan Indien mardi et dimanche à 8h00 (arrivée à 17h50). 

A ces trois destinations proposées à Munich viendront s’ajouter set autres : Fort Myers en Floride le 1er mai, Varadero à Cuba le 2 mai, Punta Cana en République Dominicaine à partir du 4 mai, Windhoek en Namibie à partir du 7 mai, Bangkok en Thaïlande à partir du 15 juin, Montego Bay en Jamaïque à partir du 18 juillet et Puerto Plata en République Dominicaine à partir du 19 juillet.

Avec le lancement du long-courrier à Munich, Eurowings « se positionne à nouveau comme la compagnie aérienne à la croissance la plus rapide d’Europe. Avec l’expansion constante et réussie de l’offre long-courrier à Munich, nous répondons aujourd’hui à la forte demande de nos clients de la zone de chalandise dans le sud de l’Allemagne », déclare dans un communiqué Oliver Wagner, directeur commercial d’Eurowings ; « avec un total de 15 nouvelles liaisons et 41 destinations à Munich, nous doublons notre croissance et y transporterons jusqu’à deux millions de passagers ». Michael Kerkloh, PDG de Flughafen München GmbH, ajoute que « la plus grande compagnie aérienne à bas prix d’Allemagne comble ainsi un déficit d’approvisionnement dans notre aéroport. Maintenant, les voyageurs de Munich ont la possibilité d’utiliser des vols à bas prix pour les voyages de longue distance. Compte tenu des destinations extrêmement attrayantes, je suis sûr que les nouvelles connexions rencontreront une excellente réponse ».

800 000 francs pour vos idées : c'est parti pour la StartupCup

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800 000 francs pour vos idées : c'est parti pour la StartupCup
PAPEETE, le 17 avril 2018 – Les inscriptions sont ouvertes pour la StartupCup Polynésie. En mai et juin, l’organisation se rendra dans huit communes à travers toute la Polynésie pour faire émerger les meilleures idées de création d’entreprise. Les lauréats s’affronteront ensuite lors d’une grande finale fin juillet pour tenter de remporter 800 000 francs de prix.

Si vous avez des idées à revendre mais qu’il vous a toujours manqué un petit quelque chose pour lancer votre propre entreprise innovante, ce concours est fait pour vous. La StartupCup Polynésie (nous vous la présentions en mars), organisée par l’incubateur PRISM de la CCISM et quatre grosses entreprises locales, vous propose des prix allant de 150 000 à 500 000 francs pour récompenser les meilleures idées et aider à les transformer en réalité. Et les inscriptions sont enfin ouvertes !

L’organisation du concours se fera en trois étapes :

Dès aujourd’hui : inscriptions sur la page Facebook "StartupCup Polynésie" ou sur le site www.startupcup.pf.

Du 14 mai au 11 juin : organisation de 8 ateliers d’émergence d’idées à travers la Polynésie (en pratique, quatre ateliers dans les communes de Tahiti, mais aussi à Raiatea, Moorea, Rangiroa et Nuku Hiva). En 4h et avec l’aide d’un coach de PRISM, les participants construiront leurs équipes, discuteront d’un problème qu’ils ont identifié dans nos îles, puis créeront leur idée de solution innovante. Chaque atelier d’une demi-journée pourra accueillir 50 participants et fera émerger le meilleur projet de la commune, sélectionné par un jury local.

Juillet : grande finale à Papeete. Les 8 équipes sélectionnées à l’issue des ateliers se verront offrir un voyage tous frais payés à Papeete pour participer à une grande finale publique.

La meilleure équipe remportera le premier prix de 500 000 francs et un accompagnement d’un an dans l’incubateur de startup PRISM, tout ce qu’il faut pour faire de son projet une réalité. L’équipe qui séduira le plus les spectateurs de la finale remportera le prix du public de 150 000 francs. Enfin, du nouveau par rapport à l’annonce faite début mars : un prix "Efficacité énergétique" a été ajouté, doté de 150 000 francs par EDT Engie pour "soutenir les initiatives ayant la capacité à minimiser la consommation d’énergie pour un même service rendu".

Comme l’explique le site de l’organisation, ce format de concours est très particulier : "C’est une coopétition ! Une “compétition” car à la fin, la meilleure idée de Startup sera récompensée. Et aussi de la “coopération” car elle vous permet de travailler en équipe pluridisciplinaire, de mettre en avant l’expérience et les compétences de chacun et de construire des projets ambitieux." Tout un programme !


Tahiti-Infos, le site N°1 de l’information à Tahiti

Les patients dialysés devront être évasanés à Raiatea

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Les patients dialysés devront être évasanés à Raiatea
PAPEETE, le 05 avril 2018 – Le centre hospitalier du Taaone et l’APURAD sont saturés. Ils ne peuvent plus accueillir de nouveaux patients dans leurs unités de dialyse médicalisée. Or de nouveaux patients arrivent sans cesse à Tahiti. En attendant l’ouverture des nouveaux postes en septembre, les patients devront être évasanés à Raiatea.

Mercredi en fin d’après-midi, le ministre de la Santé, le chef du service de néphrologie, l’ Apurad et les associations de patients se sont retrouvés pour une réunion d’urgence afin de trouver une solution pour les patients dialysés de Tahiti. Les unités de dialyse médicalisée (UDM) présentes sur le Territoire sont saturées et ne peuvent plus accueillir de nouveaux patients. Un nouveau centre géré par un nouvel acteur, la SAS ISIS Polynésie, devrait voir le jour en septembre. D’ici là, le ministère de la Santé doit trouver une solution de toute urgence pour les quatre prochains mois.

"Nous nous sommes réunis pour faire face à une situation que nous espérons provisoire. L’offre de soin en unité de dialyse médicalisée est aujourd’hui saturée que ce soit pour nous, l’hôpital comme pour l’APURAD", explique le docteur Pascale Testevuide, chef du service néphrologie.


” Un grand état d’urgence “
Les patients dialysés devront être évasanés à Raiatea
À Tahiti, les services ne sont plus en mesure d’accueillir de nouveaux patients en UDM. "On pratique la dialyse en Polynésie française depuis 1982, 1983, date depuis laquelle on n’a plus jamais évasané aucun patient. Nous sommes dans un grand état d’urgence. Nous ne pouvons plus répondre aux besoins. Nous sommes dans un cas de rupture de soins qui de fait nécessite la mise en place d’évacuations sanitaires pour les patients qui ne pourront pas être pris en charge à Tahiti", estime Alain Fournier, néphrologue, ancien chef du service de néphrologie du CHPF et ancien président de l’Apurad. Ainsi, selon le spécialiste, la situation est critique : "dans la semaine on devrait être amené à proposer aux patients d’être pris en charge en dehors de Tahiti. "

"Le CHPF et l’Apurad, nous alertons depuis 2014 sur ces risques. En 2014 nous avions proposé le projet rotonde-terrasse. À cette époque nous faisions déjà état d’un risque à très court terme si nous ne trouvions pas de solution", déclare le directeur de l’ Apurad.


18 patients pourront être pris en charge à Raiatea
Les patients dialysés devront être évasanés à Raiatea
Pour répondre à cette crise, le ministère de la Santé et les prestataires n’ont pas d’autres choix que d’envisager l’évacuation sanitaire des patients, vers Raiatea dans un premier temps puis éventuellement si besoin vers la Nouvelle-Calédonie. "Une autorisation exceptionnelle sera délivrée au centre APURAD de Raiatea, où huit à neuf postes sont ouverts. Cela fait environ 18 patients de plus que le site peut accueillir", détaille la chef du service de néphrologie.

Pour Sylvain Rigault, directeur de l’APURAD, "nous sommes actuellement en surcapacité de 30 patients à Tahiti. L’APURAD propose aussi à Raiatea une offre de santé d’autodialyse et une offre de santé de dialyse médicalisée. Lors de la commission d’organisation des soins de santé, l’APURAD a demandé la reconduction de toutes ses offres comme en 2016. Sauf que la commission de 2017 a validé l’activité d’autodialyse, mais a refusé la mise en place d’activité de dialyse médicalisée. Or depuis 2014 nous faisons les deux activités. Par dérogation du ministère, nous continuons de la faire, mais elle doit s’arrêter dès l’ouverture d’une offre autre à l’équivalent". Il ajoute, "on va évasaner des patients sur une activité qui existe depuis quatre ans, qui n’a jamais posé de problème et qui à terme va disparaitre. En attendant la fermeture, pendant quatre mois nous allons augmenter cette activité..."


Qu’est-ce que la dialyse ?
La dialyse est un traitement complémentaire qui permet de remplacer partiellement le fonctionnement des reins. C’est ce qu’on appelle un traitement de suppléance.


LES CHIFFRES
Au 31 mars 2018

482 personnes dialysées

196 patients dialysés au centre hospitalier du Taaone pour un coût forfaitaire estimé à 80 000 francs par séance et par patient

en 2017

615 le nombre d’insuffisants rénaux traités en Polynésie

50 nouveaux patients par an

463 personnes dialysées

dont

189 patients dialysés au centre hospitalier du Taaone

152 patients greffés


Jacques Raynal, ministre de la Santé “Les évasans concerneront les mois de mai, juin, juillet, août”
Les patients dialysés devront être évasanés à Raiatea
Aujourd’hui, nous sommes face à une situation où le CHPF et l’APURAD rencontrent des difficultés pour prendre en charge tous les patients dialysés ?

Nous sommes face à une situation qui, d’après le docteur Testevuide, est devenue plus aigüe du fait de la complexité du traitement de certains patients qui sont actuellement en unité d’autodialyse et qui doivent passer par les unités de dialyse médicalisée (UDM). Or en UDM il n’y a plus de place.

Pourquoi les acteurs du monde de la dialyse se sont-ils rencontrés en urgence mercredi ?

Nous nous sommes rencontrés pour évoquer la prise en charge des patients dialysés, et faire un réel bilan de l’existant. Nous avons parlé des difficultés de traitement de prise en charge et envisagé une solution pour réorienter des patients vers des centres existants en priorité en Polynésie, à Raiatea notamment. S’il n’est pas possible de les réorienter dans les centres existants en Polynésie, nous devrons envisager, éventuellement, des évacuations sanitaires extérieures qui s’opèreraient possiblement vers la Nouvelle-Calédonie.

Lors de la dernière commission d’organisation des soins, le centre de Raiatea s’est vu refuser le renouvellement de son autorisation…

C’est exact. Pour l’instant les choses sont toujours dans la même disposition qu’avant la COS, dans la mesure où les autorisations ne sont réellement validées que lorsque les nouvelles autorisations sont mises en place. Dans l’attente de l’ouverture des autres centres qui ont obtenu une autorisation, les choses ne bougent pas. Les autorisations qu’ils ont sont toujours valides. Ce n’est que lorsque les nouvelles autorisations seront mises en place qu’ils se retrouveront avec un tout petit peu moins de postes à Raiatea. Leur autorisation est pour six postes alors qu’ils en ont huit actuellement. Ce n’est pas la COS qui entraine les difficultés que nous rencontrons aujourd’hui.

Justement comment sommes-nous arrivés à cette situation ?

Ce sont différents événements qui se sont passés, en particulier la destruction nécessaire de la rotonde. Suite à cela, l’APURAD n’a pas pu utiliser le site de la Rotonde, cela a été un écueil majeur. Ils n’ont pas pu mettre en place le projet qui était prévu.

Aujourd’hui tout le réseau est-il saturé ?

Non. C’est beaucoup plus compliqué de cela. En nombre de postes de traitement, il y a suffisamment de postes pour traiter le nombre de patients. La difficulté, c’est là où nous rentrons dans des critères techniques, c’est qu’il y a différentes sortes de traitement de l’insuffisance rénale. Il y a des traitements qui sont plus lourds que d’autres. C’est dans la répartition de ce traitement que l’on a un besoin.

Quand vont ouvrir les postes du nouvel acteur ISIS?

ISIS va ouvrir en septembre. Il avait annoncé qu’il serait peut-être possible d’ouvrir en juin, mais compte tenu de la nécessité d’importer des matériels et d’autres choses, il ne pourra ouvrir qu’en septembre 2018.

Combien de postes seraient-ils nécessaires pour résoudre cette situation ?

Il n’en faut pas plus. C’est un problème de répartition des patients. C’est pourquoi nous parlons d’évacuation sanitaire interne sur Raiatea. APURAD à Raiatea pourrait prendre en charge les patients. Il y a une vingtaine de patients qui peuvent être répartis différemment, soit sur Tahiti soit à Raiatea. Si nous n’y arrivons pas, il faudra envisager pour certains en fonction de critères médicaux particuliers une évacuation sanitaire sur d’autres centres, notamment en Nouvelle-Calédonie.

À partir de quand les patients devront-ils être évasanés ?

Nous avons prévu de nous revoir la semaine prochaine. A priori les evasans concerneront les mois de mai, juin, juillet, août, soit quatre mois. Isis ouvrira ses centres à Tahiti en septembre.

Pour la COS a-t-elle choisi ISIS plutôt que l’APURAD qui connaît déjà la situation en Polynésie ?

Une des recommandations du schéma d’organisation sanitaire était de faire baisser le coût de l’hémodialyse en général. Le monopole n’est jamais favorable à une inflexion des prix. Nous introduisons donc progressivement d’autres acteurs. En l’occurrence, ISIS a permis de baisser les tarifs. Les UDM sont passés de 39 000 à 35 000 francs. L’introduction d’un nouvel acteur permet de jouer sur les tarifs.


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