Un record pour la Polynésie : le nombre d'espèces invasives

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Un record pour la Polynésie : le nombre d'espèces invasives
PAPEETE, le 16 août 2016 – Un rapport de l’Observatoire National de la Biodiversité est édifiant pour nos archipels : de tous les Outre-Mer français, la Polynésie n’est dépassée que par la Nouvelle-Calédonie pour le nombre d’espèces invasives qui attaquent nos écosystèmes.

En Polynésie française, l’Observatoire National de la Biodiversité compte 36 espèces invasives qui font partie des 100 espèces les plus dommageables à la biodiversité dans le monde. Cette liste à la Prévert comprend de tout : des insectes (petite fourmi de feu, fourmi folle jaune, guêpe européenne, mouche blanche…), des mammifères (rat noir, chèvre domestique, lapin de Garenne…), des gastéropodes et amphibiens (crapaud géant, escargot de Floride…), des oiseaux (bulbul à ventre rouge…), des plantes (tulipier du Gabon, liane américaine, miconia…) et plus encore.

Cet indicateur de l’Observatoire n’a pas grande utilité pour la préservation des écosystèmes : il se veut surtout pédagogique. Car après la déforestation et la destruction des habitats naturels, ce sont les espèces invasives qui mettent le plus à mal la biodiversité d’un territoire. Mais l’indicateur il garde une vraie validité scientifique, comme le notent les scientifiques chargés d’analyser le rapport de l’Observatoire : "Le lien de cause à effet (entre l’introduction d’une espèce et la dégradation d’un écosystème) a pu être vérifié dans le cas d’une relation prédateur-proie où la proie est indigène et le prédateur envahissant. Mais il existe aussi des causes plus indirectes (par exemple via la modification des conditions physico-chimiques de l’environnement). Les impacts de ces espèces sur les écosystèmes sont amplement documentés dans la littérature scientifique, et c’est surtout dans les systèmes insulaires que les effets sont les plus graves." Dommage pour nous.

LA FORÊT ENDÉMIQUE DISPARAIT

Si le rapport ne se penche pas sur les détails de chaque territoire, on constate en Polynésie que certaines de ces espèces ont déjà été particulièrement dévastatrices pour nos écosystèmes. Se promener dans une vallée de Tahiti ne permet plus de voir le même paysage qu’il y a un siècle : les arbres hauts ou à croissance rapide (miconias, tulipiers du Gabon, goyaviers de Chine, pins parasols) ont supplanté les espèces endémiques. Les animaux ont changé, repoussé par les espèces invasives et par la disparition de leurs fruits et graines préférés. Même les insectes succombent progressivement à la poussée de trois espèces de fourmis terriblement agressives (au point de s’attaquer aux mammifères, dont l’Homme).

L’Observatoire National de la Biodiversité comptabilise l’avancée des 100 espèces les plus invasives à travers tous les Outre-mer français, et malheureusement, nous sommes parmi les plus envahis juste derrière la Nouvelle-Calédonie, qui compte 38 espèces invasives parmi les 100 plus envahissantes. Mais notre climat favorable et l’énorme surface maritime à surveiller ne nous facilite pas la tâche. Le petit atoll Clipperton, très isolé, ne souffre de son côté que de la présence du plus efficace de tous ces envahisseurs : le rat noir.


Triste médaille d’argent :
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Commune de Makemo : le torchon brûle entre Bruno Faatoa et Félix Tokoragi

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Commune de Makemo : le torchon brûle entre Bruno Faatoa et Félix Tokoragi
MAKEMO, le 15/08/2016 – Depuis plusieurs années, les élus des atolls des Tuamotu se déplacent en speedboat pour se rendre à leurs différents conseils municipaux, au sein de leur commune associée. À Makemo, la commune compte : Katiu, Raroia, Takume, Taenga et Mihiru. Aujourd’hui, un élu du conseil municipal monte au créneau pour dénoncer les conditions de leur déplacement.

Le prochain conseil municipal de Makemo se tiendra le vendredi 19 août, où les 18 élus débattront des différents projets de chaque atoll. Un moment important pour les membres du conseil municipal. Mais pour l’un d’eux le déplacement pourrait se compliquer.

En effet, Bruno Faatoa, élu de Takume, dénonce les conditions de déplacement pour se rendre à Makemo. "Ils veulent nous faire prendre un vieux bateau pourri et qui n’a même pas eu l’autorisation de navigation de la DPAM", confie-t-il. Des propos que dément formellement le maire de Makemo, Félix Tokoragi : "Tous nos speedboats ont leur immatriculation."

Autre fait dénoncé par Bruno Faatoa, la situation des pilotes qui n’est pas en règle. "Ils n’ont même pas leurs permis. C’est grave, moi qui ai mon permis bateau, je ne vais quand même pas m’installer dans ce speedboat à côté d’un gars qui n’a pas son permis. Et si le bateau se renverse, on fait comment ?", s’interroge-t-il.


TOUT EST FAIT DANS LES RÈGLES SELON LE MAIRE
"Les agents communaux qui pilotent les speedboat ont fait des formations. Mais ils ne peuvent transporter que les élus et les agents de la commune, pas les habitants", se défend le tāvana.

Un argument qui ne convainc pas l’élu de Takume. Bruno Faatoa a demandé à la mairie de financer son billet d’avion pour se rendre à Tahiti et repartir sur Makemo, parce qu’il ne veut rater ce conseil municipal pour rien au monde. "Je vais déposer un projet pour Takume. La construction d’un complexe pour nos jeunes", explique-t-il. "Actuellement nos manifestations, nous les faisons dans une salle de la paroisse catholique".

Mais pour financer ces billets d’avion, cela représenterait une dépense de 145 000 Fcfp pour la commune. "Nous ne pouvons pas nous permettre", assure Félix Tokoragi. "Depuis des années, les élus se déplacent avec le speedboat communal. Un moyen de déplacement mis en place, justement, pour réduire les dépenses de la commune".

À Makemo, les élus du conseil municipal se réunissent 6 à 7 fois par an, "ce qui représenterait 1 million de Fcfp pour financer le billet d’avion d’une personne. Les autres élus se débrouillent pour être présents", rétorque le tāvana de Makemo.

D’ailleurs, la commune envisage de se doter d’un bateau plus grand comme celui de Rangiroa. "Une navette qui pourra transporter 40 personnes, et qui sera aussi disponible pour la population. Pour son acquisition, il faudra investir 80 à 100 millions de Fcfp. Mais il faut que l’on discute avec l’État à ce sujet", prévient Félix Tokoragi. La question sera débattu lors du conseil municipal du 19 août.

Selon le maire, cinq agents communaux ont leur permis bateau. Un autre est actuellement en formation à Papeete, à la capitainerie pour y passer son brevet, qu’il devrait obtenir au mois de septembre.


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Les Jardins de l’évêché de Papeete

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Les Jardins de l’évêché de Papeete
PAPEETE, le 14 août 2016. Nous partons, cette semaine avec Tahiti Heritage, dans la vallée de la mission à Papeete, découvrir les arbres majestueux des jardins de l’évêché.

C’est en 1855 que Monseigneur Tepano Jaussen, premier vicaire apostolique de Tahiti, entreprit l’acquisition d’un vaste domaine destiné à devenir le cœur de la Mission catholique à Papeete, soit 750 hectares incluant une zone de collines alors totalement vierges.

L’homme de robe, fit des Jardins de l’évêché un véritable verger, qui à la fin des années 1870, comprenait jusqu’à 8000 cocotiers, plusieurs hectares de canne à sucre, des eucalyptus, de nombreux arbres à pain (uru), des pamplemoussiers et d’autres fruitiers acclimatés et greffés, comme les manguiers et les noyers «Mission». Ses successeurs, Monseigneur Mazé et Monseigneur Michel Coppenrath relaieront son œuvre en plantant de nombreuses essences qui font de ces jardins ombragés des bijoux de verdure.

Découvrons quelques-uns de ces magnifiques arbres.

Photos et plan Tahiti Heritage


Les Jardins de l’évêché de Papeete
1 Kava – Pometier

Le Pometier, Kava, est un arbre originaire des Philippines qui donne de gros fruits juteux, qui ressemblent aux Longans. Il ne faut pas le confondre avec le Kava, piper methysticum, dont les racines servent à réaliser la boisson rituelle polynésienne. Le fruit, le kava, est rond ou ellipsoïde de 3 cm de diamètre avec une peau verte qui plus ou moins brun rougeâtre à maturité, cotonneuse à l’intérieur. Sa chair de translucide est juteuse et sucrée entoure une seule grande graine brune.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
2 Manguier mission

Le manguier, l’arbre fruitier le plus répandu au monde, provient de Birmanie et de l’Inde orientale. C’est le Contre-Amiral Le Gourant de Tromelin qui l’introduit en Polynésie en 1848. Un peu plus tard, les missionnaires catholiques apportèrent une variété de mangues appelée « mangue-mission ». Ce fruit a peau cireuse et lisse, jaune verdâtre à rouge orangé avec un gros noyau central. Sa chair, très juteuse, et jaune orange est riche en vitamines A et C et source de carotène.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
3 Jacaranda

Le Jacaranda est un des plus beaux arbres ornementaux grâce à ses feuilles plumeuses, mais surtout lorsqu’il se couvre de magnifiques grappes de fleurs bleues parfumées en forme de trompette. C’est arbre natif du Brésil et du Sud du Pérou qui est rare à Tahiti. Il y avait deux magnifiques pieds de Jacaranda bleus devant l’église Saint-François Xavier de Paea mais ils ont été coupés en 2006.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
4 Camphrier

Le camphrier est un bel arbre à feuillage aromatique, originaire du sud de la Chine, du sud du Japon ou de Taiwan. Le camphre provient de la distillation, à la vapeur, de l’écorce, des feuilles ou des branches du camphrier. C’est une huile essentielle utilisée depuis longtemps en pharmacopée traditionnelle chinoise à laquelle on prête des vertus antiseptique, tonicardiaques, anti-infectieuses et antivirales.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
5 Noyer mission

Monseigneur Tepano Jaussen a planté dans le jardin des noyers originaires des Nouvelles Hébrides qui ont été apportés à la fin du XIXème siècle par les Pères Maristes. Deux de ces spécimens, désormais immenses, sont toujours visibles entre le portail et la chapelle. Les enfants des écoles voisines viennent ramasser les noix. De la taille d’une grosse amande, ces noix ont une consistance particulièrement tendre, légèrement fondante avec un parfum subtil.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
6 Tamarinier

Le Tamarinier est un très grand arbre originaire de l’Afrique de l’Est, qui fut introduit en 1769 par le capitaine Cook à Mahina. Le fruit, le Tamarin, a la forme d’une gousse bosselée épaisse de couleur brun clair contenant des graines enrobées d’une pulpe fibreuse. Cette pulpe comestible a une saveur acidulée, fruitée et rafraîchissante. La pulpe de Tamarin se décline également en bonbons, en jus, en confitures et surtout en assaisonnement de plats comme le canard aux tamarins.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
7 Ylang Ylang

Le Ylang-ylang, Motoi, originaire de l’Asie du sud-est, est connu depuis longtemps par les marquisiens qui utilisent ses fleurs très odorantes pour parfumer le monoï ou pour la composition de bouquets aphrodisiaques. Il aurait été introduit à Tahiti en 1850 par M. Dunnett. L’huile de Ylang ylang est utilisée comme traitement pour la croissance des cheveux. L’huile essentielle d’Ylang ylang est recommandée dans les cas d’angoisse, de dépression nerveuse et de stress.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
8 Kapokier

Le Kapokier, également appelé Fromager, est un arbre géant originaire des forêts d’Amérique centrale et du sud qui a été introduit à Tahiti par le docteur Johnstone en 1845. Il produit, le kapok, une fibre végétale imputrescible proche du coton, ce qui lui a valu son nom d’arbre à coton. Le kapok a été longtemps utilisé pour le rembourrage de coussins d’oreillers, de matelas et de gilets de sauvetage. Il sert désormais à absorber les hydrocarbures lors de pollutions maritimes.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
9 Mangoustan

Le Mangoustan est un arbre originaire d’Asie de Malaisie, qui a été introduit à Tahiti par Harrison Smith en 1921. C’est un tahitien, Talo Pambrun, qui réussit la première greffe de mangoustan, ce qui n’était pas possible d’après les botanistes. Il planta lui-même le pied de mangoustan, issu de ses greffes, dans le jardin de l’évêché. Le mangoustan qui est consommé nature et bien mûr, est sans doute un des plus délicieux fruits des tropiques.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
10 Cacaoyer

Le cacaoyer est un petit arbre originaire du Mexique cultivé depuis plus de 3 000 ans par les Aztèques qui a été importé à Tahiti, en 1848, par le docteur britannique Johnstone. Le cacaoyer à la particularité d’avoir des fruits qui poussent directement sur les branches. Ce fruit, appelé cabosse, vert puis rouge à violet à maturité contient environ 35 fèves. Ces fèves sont torréfiées puis broyées pour former la pâte de cacao à partir de laquelle on extrait par pression le beurre de cacao et de la poudre de cacao.


Les Jardins de l’évêché de Papeete
12 Sapotillier

Le Sapotillier est un arbre fruitier originaire d’Amérique latine et des Caraïbes qui fut introduit à Tahiti en 1846 par l’amiral Hametin. Son fruit, la sapotille ou sapote, se mange mûre, de préférence fraiche, « à la coque » simplement coupée en deux, la peau non comestible servant de coquille. La chair de couleur brune est très sucrée et comparable à du caramel. Elle se consomme en salade de fruits, en sirop ou en confiture.


Les Jardins de l’évêché de Papeete


Retrouvez d’autres jardins et arbres sur le site Tahiti Heritage http://www.tahitiheritage.pf

ou sur la page Facebook de Tahiti Heritage https://www.facebook.com/tahitiheritage2


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Les Fidji en liesse après l'exploit des rugbymen au JO

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Les Fidji en liesse après l'exploit des rugbymen au JO
Suva, Fidji | AFP | vendredi 11/08/2016 – Des cris, des larmes de bonheur et la fête dans les rues: les Fidji ont basculé vendredi matin dans une indescriptible allégresse après le triomphe de leurs rugbymen à Rio et cette première médaille olympique de l’histoire fidjienne.

La vie sur le petit archipel du Pacifique s’était arrêtée au début de la finale contre la Grande-Bretagne.

Mais il n’a pas fallu attendre la fin du match pour que les premiers feux d’artifice soient tirés. A la mi-temps, les Britanniques étaient menés 29 à 0, l’affaire était pliée, la fête pouvait commencer.

L’archipel a finalement basculé dans une folie contagieuse au coup de sifflet final (43-7), synonyme de première médaille olympique pour les Fidji, du plus beau métal qui soit.



"C’est le plus grand jour de l’histoire des Fidji. Tout le monde fait la fête",
explique le photographe Feroz Khalil, qui a suivi la finale sur un écran géant installé dans le principal stade de Suva.



"C’est fou. Tout le monde chante, pleure. Les larmes coulent partout. Je suis tellement heureux."

Dans un message à la nation envoyé depuis Rio de Janeiro, où il avait assisté à la finale olympique, le Premier ministre Voreqe Bainimarama a affirmé que "tous les Fidjiens se réjouissent", partout dans le monde.



"Jamais l’esprit fidjien n’avait été élevé aussi haut. Jamais auparavant n’avions nous été une si grande nation"
, a-t-il poursuivi.

-‘Une force unificatrice’-

Aux Fidji, le directeur général de la Fédération fidjienne de rugby John O’Connor affirme à l’AFP que la quasi totalité des 900.000 Fidjiens ont suivi la finale à la télévision, sur l’une des 110 îles habitées de l’archipel.



"Tout le monde est à fond. Partout où il y avait une télé dans un village, il y avait du monde devant"
, dit-il. "Ils étaient 2.000 dans le principal stade devant un écran géant. Certains vont peut-être au travail ce matin, mais je doute qu’ils soient très productifs."

Dans la capitale Suva, le trafic était complètement paralysé, les rues envahies d’habitants en liesse.

L’atmosphère était déjà festive avant l’aube, après la qualification en finale aux dépens des Japonais. Un succès qui garantissait déjà une médaille.



"La victoire est vraiment un événement historique pour les Fidji"
, explique Shailendra Singh, ancien journaliste sportif devenu enseignant à l’Université du Sud-Pacifique (USP) des Fidji.



"Le rugby à VII est plus qu’un jeu, c’est une force unificatrice"
, estime-t-il, alors que le pays a connu quatre coups d’Etat en 30 ans. "Toute la nation, les jeunes, les personnes âgées, les femmes, les enfants, les adultes, quelle que soit leur couleur politique, vont célébrer ensemble ce titre."

-‘Cette victoire vivra longtemps’-

Pour Rajesh Chandra, vice-président de l’USP, cette victoire montre surtout qu’un petit Etat du Pacifique "peut passer outre sa petite taille, son manque de ressource et ses autres handicaps pour damer le pion aux grandes nations".



Il s’agit de la deuxième médaille olympique d’une petite nation insulaire du Pacifique 20 ans après l’argent récolté par Paea Wolfgramm.

Le boxeur tongien, qui s’était incliné en finale des super-lourds à Atlanta face à l’Ukrainien Wladimir Klitschko, a salué vendredi l’or fidjien.

"Moi je sortais de nulle part mais on voit bien que cela fait 20 ans que ces gars se préparent pour ça", a-t-il déclaré à l’AFP à Auckland.



"Je savais qu’ils seraient là pour écrire l’histoire. On dit que l’histoire s’écrit quand l’opportunité croise la préparation. C’est exactement ce qui s’est passé"
, a-t-il ajouté, tout en regrettant que ses successeurs insulaires sur le podium olympique ne soient pas tongiens.

Dans une rue de Suva, Dan Nabuli, un inconditionnel du rugby, le proclame: "Cette victoire vivra très longtemps dans l’esprit de tous, en particulier dans celui de nos enfants.

Avant de s’emporter: "Car un petit Etat insulaire du Pacifique vient de remporter l’or!"


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Crinole d’Asie, Riri, le poireau de Tahiti

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Crinole d'Asie, Riri, le poireau de Tahiti

Le parfum suave, profond et sensuel avec des notes de vanille et d’épices, des fleurs de la Crinole d’Asie aurait la faculté d’éveiller l’amour. Originaire d’Indopacifique tropicale, cette plante a été importée à Tahiti en 1845 par le docteur Johnstone. La Crinole pousse sur rivages sablonneux des îles de Polynésie où elle est souvent appelée Riri et surnommée Poireau en raison de sa ressemblance avec un gigantesque poireau.

La Crinole d’Asie, Crinum asiaticum, se développe à partir d’un bulbe souterrain. Les feuilles inférieures forment un pseudo-tronc à partir de laquelle les feuilles vertes ou jaunes de 10 cm de largeur émergent en rosette pour former de gros massifs

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Louise Audyll Ongoum nommée directrice pour le Gabon d'Air France

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Louise Audyll Ongoum est la nouvelle directrice pour le Gabon et Sao Tomé d’Air France. Basée à Libreville, elle succède à Jean Paul Poulain, nommé à la direction commerciale régionale Afrique Centrale. Louise Audyll Ongoum a intégré Air France en 2001 comme chef des ventes. Elle…

Le contre-amiral Bertrand "revient" au Pays

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PAPEETE, le 08 aout 2016 – Le contre-amiral Denis Bertrand a pris officiellement son commandement des forces armées en Polynésie française lundi matin.

Lundi matin, le contre-amiral Denis Bertrand prenait ses fonctions en tant que commandant supérieur des forces armées en Polynésie française. Le contre-amiral Bernard Antoine Morio de l’Isle ancien commandant supérieur des forces armées est quant à lui muté à l’État-major des opérations de la marine nationale à Paris.

Près de 300 militaires étaient présents pour la cérémonie de prise de fonction du nouveau commandant des forces armées sous les ordres du Colonel Christopher Malod, chef de l’État-major interarmées. Etaient également présents à la cérémonie le Haut-Commissaire, René Bidal, le président de l’assemblée Marcel Tuihani, ainsi que d’autres personnalités plus "people" comme miss Tahiti et Miss Heiva.


Le contre-amiral Bertrand connaît bien la Polynésie, pour lui cette mission est une sorte de "retour au pays": "j’ai l’impression de revenir au Fenua tous les 25 ans, j’y étais enfant, j’y ai appris à nager, j’y suis allé à l’école pour la première fois. J’ai appris à lire, à écrire à compter, à la pointe Vénus, à l’école de Mahina. J’y suis retourné quand j’étais jeune officier, on peut dire que j’ai vraiment appris le concret de mon métier ici en Polynésie en navigant des australes aux marquises des Tuamotu aux îles sous le Vent et puis si j’ajoute que c’est là que j’ai rencontré celle qui allait devenir ma femme vous pouvez comprendre que j’ai un attachement particulier pour ce pays", raconte-t-il. Etaient présents à la cérémonie le Haut-Commissaire, René Bidal, Le président de l’assemblée Marcel Tuihani, ainsi que d’autres personnalités plus "people" comme miss Tahiti et Miss Heiva.

Concernant ses missions en Polynésie, il indique : "Les missions des forces armées en Polynésie française ne changent pas au cœur de cette mission puisque nous sommes militaires, il y a la protection de nos concitoyens donc ici des Polynésiens. Il y a la participation à la sécurité des Polynésiens aux côtés des autres services de l’État et puis il y a toute l’action de la France dans la Pacifique qui est une zone absolument immense ou nous participons à contribuer à la l’équilibre à la sécurité de cette région du monde."


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Un cabinet de toilette pour les TBM

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Daher a annoncé, à l’occasion de l’AirVenture d’Oshkosh, qu’une nouvelle évolution de l’aménagement de la cabine des TBM sera disponible à partir de 2017 sur les avions fabriqués à partir de cette date.
Une option offrira l’intégration de l’Elite Privacy qui est un cabinet de toilettes déployable à (…)

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